Ce Mardi 14 Mai au soir, le duo Oliv & Ray du groupe The Blue Butter Pot nous ont offert une performance de feu. Nous sommes partis à leur rencontre pour en savoir un peu plus sur ce duo théâtral et fougueux.
D’où vient ce nom The Blue Butter Pot ?
Ray : C’est une longue histoire… Ça commence dès la création du groupe. C’était un jour où un gars m’appel pour faire les inter-plateaux de La Nuit du Blues à Hambourg. Je ne voulais pas le faire tout seul donc je demande à Oliv avec qui je jouait à l’époque s’il ne veut pas venir avec moi et il me dit oui. Donc dans la précipitation il fallait que je trouve un nom et donc en rentrant chez moi je réfléchis, je regarde la set-list et en fait, dans un petit délire comme ça, je me suis rencardé sur des recettes de cuisine et il se trouve qu’il y a un beurre persillé, comme le fromage persillé en France comme le Roquefort, et qui s’appel le blue butter, en Australie. Comme on est fan de bouffe j’ai choisis Blue Butter Pot mais au final ce beurre on a jamais pu le goûter.
Ray : C’est une longue histoire… Ça commence dès la création du groupe. C’était un jour où un gars m’appel pour faire les inter-plateaux de La Nuit du Blues à Hambourg. Je ne voulais pas le faire tout seul donc je demande à Oliv avec qui je jouait à l’époque s’il ne veut pas venir avec moi et il me dit oui. Donc dans la précipitation il fallait que je trouve un nom et donc en rentrant chez moi je réfléchis, je regarde la set-list et en fait, dans un petit délire comme ça, je me suis rencardé sur des recettes de cuisine et il se trouve qu’il y a un beurre persillé, comme le fromage persillé en France comme le Roquefort, et qui s’appel le blue butter, en Australie. Comme on est fan de bouffe j’ai choisis Blue Butter Pot mais au final ce beurre on a jamais pu le goûter.

Est-ce que vous pouvez nous raconter votre rencontre et comment vous en êtes venu à former un groupe ?
Ray : Le groupe date de 2012 mais on s’est connu avant, en 2004. Je cherchais à l’époque un batteur pour faire un groupe de fusion du style Reggie Against The Machine et Oliv était le cousin d’une accordéoniste avec laquelle je jouais. Donc avec Oliv et un autre bassiste, on a joué 6 mois, on a monté un répertoire mais on a jamais fait de concerts et je suis partis. À l’époque, le groupe s’appelait Les Enfants de Morphée et était très différent du groupe qu’on forme aujourd’hui. C’est donc en 2012 qu’on a formé The Blue Butter Pot lorsque le gars de La Nuit du Blues m’a appelé. À ce moment là j’avais vraiment envie de tester la formule guitare/batterie qui était en train de revenir en vogue avec les Black Eyes Peas par exemple, sauf que nous c’était acoustique.
Oliv : On se connaît assez bien ce qui fait que la fusion fonctionne assez vite. Dans les compositions, on est assez productifs, tous les deux on fonctionne vachement à l’instinct.
Votre second album sort le 24 Mai est-ce que vous vous préparez déjà pour un 3e ?
L’album qui va sortir c’est notre 2e album mais on a de la réserve pour un 3e qu’on commence déjà à jouer en live. C’est un peu comme ça d’ailleurs qu’on a fonctionné sur l’album qui sort puisque ce sont des morceaux qu’on jouait déjà et pareil pour l’album d’avant où on jouait déjà les morceaux avant leur sortie. En fait l’album qui sort c’est presque plus la terminaison d’un moment.
Comment est-ce que vous avez vécu cette expérience Toumélé ?
C’était très sympa, on a eu un très bon accueil. La chocolaterie est très bien, ce sont des artistes. Au niveau du son on s’est bien éclaté après ça faisait un peu artiste au fond de la grange avec le public un peu loin mais ils étaient là, ça réagissait plutôt pas mal.
Ray : Le groupe date de 2012 mais on s’est connu avant, en 2004. Je cherchais à l’époque un batteur pour faire un groupe de fusion du style Reggie Against The Machine et Oliv était le cousin d’une accordéoniste avec laquelle je jouais. Donc avec Oliv et un autre bassiste, on a joué 6 mois, on a monté un répertoire mais on a jamais fait de concerts et je suis partis. À l’époque, le groupe s’appelait Les Enfants de Morphée et était très différent du groupe qu’on forme aujourd’hui. C’est donc en 2012 qu’on a formé The Blue Butter Pot lorsque le gars de La Nuit du Blues m’a appelé. À ce moment là j’avais vraiment envie de tester la formule guitare/batterie qui était en train de revenir en vogue avec les Black Eyes Peas par exemple, sauf que nous c’était acoustique.
Oliv : On se connaît assez bien ce qui fait que la fusion fonctionne assez vite. Dans les compositions, on est assez productifs, tous les deux on fonctionne vachement à l’instinct.
Votre second album sort le 24 Mai est-ce que vous vous préparez déjà pour un 3e ?
L’album qui va sortir c’est notre 2e album mais on a de la réserve pour un 3e qu’on commence déjà à jouer en live. C’est un peu comme ça d’ailleurs qu’on a fonctionné sur l’album qui sort puisque ce sont des morceaux qu’on jouait déjà et pareil pour l’album d’avant où on jouait déjà les morceaux avant leur sortie. En fait l’album qui sort c’est presque plus la terminaison d’un moment.
Comment est-ce que vous avez vécu cette expérience Toumélé ?
C’était très sympa, on a eu un très bon accueil. La chocolaterie est très bien, ce sont des artistes. Au niveau du son on s’est bien éclaté après ça faisait un peu artiste au fond de la grange avec le public un peu loin mais ils étaient là, ça réagissait plutôt pas mal.
C’est quoi le meilleur catering que vous ailliez jamais eu ?
Pour nous le meilleur catering c’est simple c’est des produits du pays. Après il n'y a pas vraiment de meilleur catering. Tout récemment on a eu un catering tout bio et local c’était sympa. On adore les produits locaux ; ça nous ferais chier de manger des huitres avec du Muscadet dans le Jura, on préférerait manger du comté avec un petit vin jaune. Mais les bolognaises de Maule étaient délicieuses.
C’est quoi votre programme après Toumélé ?
On a une trentaine de dates de programmées, l’été va être sympa. Surtout avec la sortie de notre dernier album qui sort le 24 Mai et le 29 Mai c’est la scène Michele à Nantes. Donc la trentaine de dates c’est majoritairement des festivals.
Pour nous le meilleur catering c’est simple c’est des produits du pays. Après il n'y a pas vraiment de meilleur catering. Tout récemment on a eu un catering tout bio et local c’était sympa. On adore les produits locaux ; ça nous ferais chier de manger des huitres avec du Muscadet dans le Jura, on préférerait manger du comté avec un petit vin jaune. Mais les bolognaises de Maule étaient délicieuses.
C’est quoi votre programme après Toumélé ?
On a une trentaine de dates de programmées, l’été va être sympa. Surtout avec la sortie de notre dernier album qui sort le 24 Mai et le 29 Mai c’est la scène Michele à Nantes. Donc la trentaine de dates c’est majoritairement des festivals.